Tous les matins du monde sont sans retour.

Un rubik's cube.
Un mobile.
Un Petit Poney rose.
L'album Météores d'Olivia Ruiz.
Un t-shirt coloré.
Une robe noire.
Une robe blanche.

À force de vouloir rentrer dans des groupes "parodie", humour noir & co' qui m'amusaient beaucoup, les choses ont pris une tournure plus sombre, et je crois voir derrière les rires un peu (beaucoup ?) de mépris au final. Je prends l'exemple de tous les groupes très mal orthographiés que certaines personnes rejoignent pour le plaisir d'écrire sur le mur "oh mon dieu que devient la langue française !". Il y a vraiment un moment où je dis stop. Il en va de même pour tous les groupes qui ne sont pas créés dans le second degré mais qui se prennent au sérieux, et même s'ils sont ridicules, si les rejoindre passe peut être pour une dénonciation de la bêtise humaine, je crois sincèrement que ce qui se cache derrière tout ça c'est plutôt une forme de "regardez comme nous vallons mieux qu'eux", une sorte de clin d'œil pour ceux qui comprennent, une façon d'établir une communauté d' "happy few", comme dirait l'autre. Et ça, je crois bien que, consciemment ou non, c'est de l'arrogance.

Le 8 mars, vue de ma fenêtre